La machine sensible [Texte imprimé] / Stefan Kristensen
Language: français.Country: France.Publication: Paris : Hermann, impr. 2017Manufacture: 91-Courtaboeuf : Impr. CogetefiDescription: 1 vol. (313 p.) ; 21 cmISBN: 9782705694524.Series: TuchèDewey: 154.2, 23Classification: 100Abstract: La sensation d'être soumis à une contrainte implacable peut déclencher une souffrance intense, une activité délirante, ou bien une créativité irrépressible. Elle peut prendre la forme d'une «machine» à influencer. Cette figure majeure de la maladie psychique depuis deux cents ans est le point de départ et le fil conducteur pour éclairer la structure complexe et paradoxale de la subjectivité. Loin d'être un outil technique, elle est un enjeu d'abord existentiel et esthétique. De Tausk à Szondi et Maldiney, de Merleau-Ponty à Guattari et Deleuze, de Deligny à Nauman et Duchamp, de Sobchack à Epstein et Godard, et enfin, à nouveau, de Merleau-Ponty à Guattari, on voit émerger les contours d'une subjectivité en tension, toujours déjà habitée d'une altérité qui la garde en mouvement. Et l'ontologie de la chair apparaît finalement comme un champ essentiellement politique..Subject - Topical Name: Subjectivité | Sens et sensations | MoiItem type | Current library | Call number | Status | Barcode | |
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Book | Bibliothèque Tamil Général Stacks | 154.2 (Browse shelf(Opens below)) | Available | 1100358 |
Recueil de textes extr. pour la plupart de diverses revues et publications, 2014-2015
Bibliogr. p. 303-310
La sensation d'être soumis à une contrainte implacable peut déclencher une souffrance intense, une activité délirante, ou bien une créativité irrépressible. Elle peut prendre la forme d'une «machine» à influencer. Cette figure majeure de la maladie psychique depuis deux cents ans est le point de départ et le fil conducteur pour éclairer la structure complexe et paradoxale de la subjectivité. Loin d'être un outil technique, elle est un enjeu d'abord existentiel et esthétique. De Tausk à Szondi et Maldiney, de Merleau-Ponty à Guattari et Deleuze, de Deligny à Nauman et Duchamp, de Sobchack à Epstein et Godard, et enfin, à nouveau, de Merleau-Ponty à Guattari, on voit émerger les contours d'une subjectivité en tension, toujours déjà habitée d'une altérité qui la garde en mouvement. Et l'ontologie de la chair apparaît finalement comme un champ essentiellement politique. éditeur
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