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Macbeth [Texte imprimé] / William Shakespeare ; traduit de l'anglais par Daniel Loayza et Stéphane Braunschweig

Translation of: ˜The œtragedy of MacbethMain Author: Shakespeare, William, 1564-1616, AuteurSecondary Author: Loayza, Daniel, 1961-...., Traducteur;Braunschweig, Stéphane, 1964-...., TraducteurLanguage: français ; of original work, anglais.Country: France.Publication: Besançon : Éditions les Solitaires intempestifs, DL 2018Manufacture: 46-Mercuès : Impr. France QuercyDescription: 1 vol. (158 p.) ; 18 cmISBN: 9782846815390.Series: Traductions du XXIe siècleClassification: 802Abstract: « Je porte en moi soixante-dix ans de souvenirs,/ et j'en ai vu, pendant tout ce temps,/ des heures affreuses, d'étranges choses – mais cette nuit atroce/ réduit à rien tout ce que j'ai vécu. » Macbeth se situe tout entier sur les bords de l'humanité. On y rencontre des sorcières dont le « savoir dépasse celui des mortels », des phénomènes et des actes « contre nature », et des personnages qui se demandent si « être homme », c'est chercher à se dépasser ou se tenir dans les limites de l'humanité. Comment faut-il considérer les époux Macbeth ? Comme des monstres, des humains sortis de leur nature, ou plutôt, ce que semble suggérer Shakespeare, des humains qui se débattent comme tout un chacun avec leur part d'inhumanité et leurs fantasmes ? L'ambition qui les guide vers le meurtre, l'amour qui les lie dans leur projet, la peur qui les tétanise ou les pousse à s'enfoncer dans le crime, faut-il les mettre au compte de leur humanité ou de leur inhumanité ? S. B..
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« Je porte en moi soixante-dix ans de souvenirs,/ et j'en ai vu, pendant tout ce temps,/ des heures affreuses, d'étranges choses – mais cette nuit atroce/ réduit à rien tout ce que j'ai vécu. » Macbeth se situe tout entier sur les bords de l'humanité. On y rencontre des sorcières dont le « savoir dépasse celui des mortels », des phénomènes et des actes « contre nature », et des personnages qui se demandent si « être homme », c'est chercher à se dépasser ou se tenir dans les limites de l'humanité. Comment faut-il considérer les époux Macbeth ? Comme des monstres, des humains sortis de leur nature, ou plutôt, ce que semble suggérer Shakespeare, des humains qui se débattent comme tout un chacun avec leur part d'inhumanité et leurs fantasmes ? L'ambition qui les guide vers le meurtre, l'amour qui les lie dans leur projet, la peur qui les tétanise ou les pousse à s'enfoncer dans le crime, faut-il les mettre au compte de leur humanité ou de leur inhumanité ? S. B. éditeur

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Version 24.11.02