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Ne pas toucher la queue du dragon [Texte imprimé] : violence d'État et racisme au Guatemala / Rodrigo Rey Rosa ; traduit [de l'espagnol] par Jacques Aubergy

Translation of: ˜La œcola del dragónMain Author: Rey Rosa, Rodrigo, 1958-...., AuteurSecondary Author: Aubergy, Jacques, 1947-...., TraducteurLanguage: français ; of original work, espagnol; castillan.Country: France.Publication: Marseille : l'AtinoirManufacture: 13-Le Rove : Centre littéraire d'impr. provençalCopyright date: 2017Description: 1 vol. (201 p.) ; 19 cmISBN: 9782918112679.Dewey: 320.972 81, 23Classification: 320Abstract: « (…) Au Guatemala, Rodrigo Rey Rosa se déplace beaucoup, apparemment insoucieux des dangers que peut entraîner aujourd'hui une telle mobilité. En 1989, il a traversé à pied, pendant plusieurs jours, la forêt tropicale qui couvre le Nord-Est du pays. Une année, il m'envoya des écrits d'un village dont les seuls habitants étaient des Indiens. Il était constamment à l'affût d'endroits où vivre et travailler dans les régions les plus éloignées. (…) » Paul Bowles (…) Et alors, on ne peut que penser à toute l'horreur qui s'est déversé sur le Guatemala, l'abjection et le sang. Et on pense aussi à Miguel Ángel Asturias, à Augusto Monterroso et maintenant à Rodrigo Rey Rosa, trois immenses écrivains venus d'un pays petit et infortuné. Et dans le miroir, l'image reste terrible et toujours vive. ( ) » Roberto Bolaño.Subject - Topical Name: Violence politique -- Guatemala -- 1945- | Justice -- Administration -- Guatemala -- 1945- | Politique et gouvernement -- Guatemala -- 1945-1985 | Politique et gouvernement -- Guatemala -- 1985-

Glossaire

« (…) Au Guatemala, Rodrigo Rey Rosa se déplace beaucoup, apparemment insoucieux des dangers que peut entraîner aujourd'hui une telle mobilité. En 1989, il a traversé à pied, pendant plusieurs jours, la forêt tropicale qui couvre le Nord-Est du pays. Une année, il m'envoya des écrits d'un village dont les seuls habitants étaient des Indiens. Il était constamment à l'affût d'endroits où vivre et travailler dans les régions les plus éloignées. (…) » Paul Bowles (…) Et alors, on ne peut que penser à toute l'horreur qui s'est déversé sur le Guatemala, l'abjection et le sang. Et on pense aussi à Miguel Ángel Asturias, à Augusto Monterroso et maintenant à Rodrigo Rey Rosa, trois immenses écrivains venus d'un pays petit et infortuné. Et dans le miroir, l'image reste terrible et toujours vive. ( ) » Roberto Bolaño éditeur

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Version 24.11.02