Bibliogr. p. 264-269. Index

Le mystère sur les langues sacrées des grands prêtres et astronomes de l'Egypte pharaonique demeure problématique dans l'égyptologie.Ce clergé a volontairement dissimulé le secrets des hiéroglyphes qu'ils enseignaient uniquement à leurs enfants;cette hypothèse apparait dans les écrits de Diodore de Sicile(livre I,II,LXXXI)qui les a côtoyés La grande contribution de l'auteur,est d'avoir levé le mystère sur ce clergé et astronomes par des analyses scientifiques. Ainsi il démontre la parenté entre les chasseurs du Sahara préhistorique(1000 avant notre ère) qui arboraient la peau de panthère auxSbai "maîtres initiateurs" des textes des pyramides (2780-1260 avant notre ère)Egyptiens, au mythique Lualbanda(Log-Mbang des Bisoo,Log Baba des Basaa) de Sumer (2700 ans avant notre ère),aux témoignages des auteurs grecs sur l'Egyptien Pan(compagnon d'Osiris ayant existé vers(14000 ans avant notre ère)à Abraham de Moise(1500 ans avant notre ère)à Brahama de l'inde,àMban de l'empire "des hommes panthères"Ngé simba(Agv Simba des Romains) et de Ngok-Lituba à Andoumboudou des Dogons. Tous ces personnages cités sont des éléveurs de petits ruminants et maîtres initiateurs au savoir. Les deux notions ontologiques(Le Ka et le Ba) des peuls d'origine égyptienne d'après Cheikh Anta Diop et leur nom Sow sont exactement les trois castes(Bakoko,Mban et Bisoo) de grands prêtres et astronomes des Elog Mpoo du Cameroun et Mpoo proviendrait de Pouanit dans l'Ethiopie ancienne. L'Auteur indique que Egypte ancienne a eu trois langues sacrées; celle des Sbai(initiation) celle des kaoukaou(funéraire) et de Séchât(sciences) qui constituent respectivement les trois langues liturgiques( Mban,Bakoko,Bisoo) des Elog Mpoo. éditeur