Les hommes pleurent aussi [Texte imprimé] / Pierre-Richard Savals
Language: français.Country: France.Publication: [Paris] : Éditions Sydney Laurent, [2018]Manufacture: 13-Le Rove : Centre littéraire d'impr. provençalDescription: 1 vol. (361 p.) ; 22 cmISBN: 9791032611807.Classification: 803Abstract: La ville de Seaton abrite des gens d'une élégante simplicité. Ce sud-ouest de l'Angleterre aux valeurs traditionnelles, posées comme des amarres. Stanley Bradford vit entre « Memssy » son épouse et son métier de grand reporter. Dans ce havre de tranquillité et d'aisance, le bonheur frappe chaque jour à la lourde porte d'entrée des « Deux Y ». Le pasteur James, son épouse Elisabeth, Madame Ledbury et l'immense miroir du vestibule sont les attaches de ce couple merveilleux et fous amoureux. Stanley Bradford a toujours été un élève sérieux et appliqué. Son bourgeois de père anglais prônait haut et fort dans la grande bâtisse familiale : « OU BIEN OU RIEN »… Le dicton fut respecté par l'enfant puis par l'homme. Mais parfois les douleurs de la vie en décident autrement… et l'existence se jette en enfer. Un jour Memssy annonce avec fierté son nouvel état de future mère. Stan ne vit déjà plus que pour son épouse et l'arrivée prochaine de Mary qui nécessite un autre Y sur la plaque d'entrée de la maison. Les regards pour cet événement ne sont pas assez beaux pour ce couple plongé dans le bonheur le plus éloquent….. « Les jours n'appartiennent à personne et encore bien moins les lendemains ». Et alors l'homme devient un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout..Item type | Current library | Status | Barcode | |
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Book | Bibliothèque Tamil Général Stacks | Available | 1170765 |
2018 d'après la déclaration de dépôt légal
La ville de Seaton abrite des gens d'une élégante simplicité. Ce sud-ouest de l'Angleterre aux valeurs traditionnelles, posées comme des amarres. Stanley Bradford vit entre « Memssy » son épouse et son métier de grand reporter. Dans ce havre de tranquillité et d'aisance, le bonheur frappe chaque jour à la lourde porte d'entrée des « Deux Y ». Le pasteur James, son épouse Elisabeth, Madame Ledbury et l'immense miroir du vestibule sont les attaches de ce couple merveilleux et fous amoureux. Stanley Bradford a toujours été un élève sérieux et appliqué. Son bourgeois de père anglais prônait haut et fort dans la grande bâtisse familiale : « OU BIEN OU RIEN »… Le dicton fut respecté par l'enfant puis par l'homme. Mais parfois les douleurs de la vie en décident autrement… et l'existence se jette en enfer. Un jour Memssy annonce avec fierté son nouvel état de future mère. Stan ne vit déjà plus que pour son épouse et l'arrivée prochaine de Mary qui nécessite un autre Y sur la plaque d'entrée de la maison. Les regards pour cet événement ne sont pas assez beaux pour ce couple plongé dans le bonheur le plus éloquent….. « Les jours n'appartiennent à personne et encore bien moins les lendemains ». Et alors l'homme devient un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout. éditeur
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