Une vision en été [Texte imprimé] / Charles Versini
Language: français.Country: France.Publication: Paris : Vérone éditions, DL 2019Description: 1 vol. (59 p.) ; 21 cmISBN: 9791028409425.Classification: 803Abstract: Un homme chante Carthage, parcourt le Nil vers son delta, rencontre une jeune fille dans une médina, s'élève au couchant dans l'île de Corse, décrit les pleureuses de Sartène, s'envole, voyage en mer, écrit à Anna, espère, parle d'émeraude. Un voyage autour d'une Méditerranée idéale, une vision en été, pour tous les étés. «Qu'il me faille encore écrire maintenant, condamné aux lourdeurs de plume – j'avais deux ailes, il me reste une plume! – qu'il me faille parler aux autres, considérer des lecteurs alors qu'en ce temps-là tout s'écrivait dans la simplicité imminente! Drame du poète ou de l'écrivain qui prétend s'accrocher – là où il parle – au monde qui passe, qui s'essaye à monter un décor mais qui sait trop, hélas, que le décor se fige, qui se sait dépassé à mesure que les instants s'abreuvent à la vie qui à chaque seconde démonte les tréteaux suspects, renouvelant sans cesse son merveilleux théâtre d'ombres et de lumières réelles, sans masques inventés.».Item type | Current library | Status | Barcode | |
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Book | Bibliothèque Tamil Général Stacks | Available | 1254202 |
Un homme chante Carthage, parcourt le Nil vers son delta, rencontre une jeune fille dans une médina, s'élève au couchant dans l'île de Corse, décrit les pleureuses de Sartène, s'envole, voyage en mer, écrit à Anna, espère, parle d'émeraude. Un voyage autour d'une Méditerranée idéale, une vision en été, pour tous les étés. «Qu'il me faille encore écrire maintenant, condamné aux lourdeurs de plume – j'avais deux ailes, il me reste une plume! – qu'il me faille parler aux autres, considérer des lecteurs alors qu'en ce temps-là tout s'écrivait dans la simplicité imminente! Drame du poète ou de l'écrivain qui prétend s'accrocher – là où il parle – au monde qui passe, qui s'essaye à monter un décor mais qui sait trop, hélas, que le décor se fige, qui se sait dépassé à mesure que les instants s'abreuvent à la vie qui à chaque seconde démonte les tréteaux suspects, renouvelant sans cesse son merveilleux théâtre d'ombres et de lumières réelles, sans masques inventés.» éditeur
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