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Missionnaire de la retraite chrétienne [Texte imprimé] : Antoine Sylvestre Receveur, 1750-1804, prêtre diocésain, fondateur de la retraite chrétienne, vénérable / Maurice Venthre,...

Main Author: Venthre, Maurice, AuteurLanguage: français.Country: France.Publication: Strasbourg : Trifolium, DL 2019Manufacture: 53-Mayenne : Impr. JouveDescription: 1 vol. (93 p.) ; 18 cmISBN: 9782358130684.Series: Coram angelis, 2266-6877, 30Dewey: 282.440 92, 23Classification: 920Abstract: Né le 28 décembre 1750 à Bonnétage (Doubs), Antoine Sylvestre Receveur est ordonné prêtre pour le diocèse de Besançon le 10 juin 1775. Chargé en 1776 de la paroisses des Fontenelles, il participe, d'abord avec quelques confrères, à la prédication de missions et de retraites avant de fonder la société de la sainte retraite, plus tard la retraite chrétienne, composée de prêtres, de frères et de sœurs entièrement voués à ce genre d'apostolat. Le 23 octobre 1792 la Révolution le chasse, lui et ses disciples, de la maison qu'il avait réussi à construire pour favoriser les retraites malgré une certaine opposition du clergé diocésain. Alors commence une période d'exil et d'errance à travers la Suisse, la Bavière, l'Autriche et l'Italie. Le Concordat de 1801 lui permet de rentrer en France où l'évêque d'Autun l'accueille dans son diocèse. « Le saint missionnaire » y décède dans sa paroisse de Cercy-la-Tour le 7 août 1804. Sa cause de béatification a été introduite à Rome le 10 mai 1883..Subject - Personal Name: Receveur Antoine-Sylvestre Subject - Form: Biographies

Bibliogr. p. 90-92

Titre d'une autre édition : Notice historique sur la vie du serviteur de Dieu Antoine-Sylvestre Receveur, prêtre, fondateur de la retraite chrétienne, décédé, en odeur de sainteté dans le diocèse d'Autun

Né le 28 décembre 1750 à Bonnétage (Doubs), Antoine Sylvestre Receveur est ordonné prêtre pour le diocèse de Besançon le 10 juin 1775. Chargé en 1776 de la paroisses des Fontenelles, il participe, d'abord avec quelques confrères, à la prédication de missions et de retraites avant de fonder la société de la sainte retraite, plus tard la retraite chrétienne, composée de prêtres, de frères et de sœurs entièrement voués à ce genre d'apostolat. Le 23 octobre 1792 la Révolution le chasse, lui et ses disciples, de la maison qu'il avait réussi à construire pour favoriser les retraites malgré une certaine opposition du clergé diocésain. Alors commence une période d'exil et d'errance à travers la Suisse, la Bavière, l'Autriche et l'Italie. Le Concordat de 1801 lui permet de rentrer en France où l'évêque d'Autun l'accueille dans son diocèse. « Le saint missionnaire » y décède dans sa paroisse de Cercy-la-Tour le 7 août 1804. Sa cause de béatification a été introduite à Rome le 10 mai 1883. éditeur

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Version 24.11.02