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Gertrude Stein [Texte imprimé] / par Philippe Blanchon

Main Author: Blanchon, Philippe, 1967-...., AuteurLanguage: français.Country: France.Publication: [Paris] : Gallimard, DL 2020Manufacture: 45-Malesherbes : Maury impr.Description: 1 vol. (301 p.-[8] p. de pl.) : ill. en coul. ; 18 cmISBN: 9782072741937.Series: Folio, Biographies, 153Dewey: 818.52 (critique), 23Classification: 920Abstract: « Je me demande si je dois parler des choses dont je ne me souviens pas comme de celles dont je me souviens. » Que savons-nous de Gertrude Stein (1874-1946)? Qu'elle fut poétesse, écrivaine, dramaturge, féministe. Qu'elle passa la plus grande partie de sa vie en France et mourut à l'hôpital américain de Neuilly. Qu'elle reçut dans son appartement du 27 rue de Fleurus, à Paris, en compagnie d'Alice B. Toklas, tout le gotha de la littérature et de l'art contemporain, de Picasso à Hemingway, d'Ezra Pound à Fitzgerald, permettant entre autres l'éclosion du cubisme. On la dit excentrique, mystificatrice, tyrannique, on fit même d'elle une « Mère l'Oye de Montparnasse». Raymond Queneau aimait à répéter qu'essayer de la comprendre n'était pas chose aisée, ajoutant: «La traduire encore moins, la présenter bien moins encore. » Philippe Blanchon la restitue à sa juste place : celle d'un écrivain unique impliqué avec énergie dans son siècle..Subject - Personal Name: Stein Gertrude Subject - Form: Biographies

Bibliogr. p. 291-294

« Je me demande si je dois parler des choses dont je ne me souviens pas comme de celles dont je me souviens. » Que savons-nous de Gertrude Stein (1874-1946)? Qu'elle fut poétesse, écrivaine, dramaturge, féministe. Qu'elle passa la plus grande partie de sa vie en France et mourut à l'hôpital américain de Neuilly. Qu'elle reçut dans son appartement du 27 rue de Fleurus, à Paris, en compagnie d'Alice B. Toklas, tout le gotha de la littérature et de l'art contemporain, de Picasso à Hemingway, d'Ezra Pound à Fitzgerald, permettant entre autres l'éclosion du cubisme. On la dit excentrique, mystificatrice, tyrannique, on fit même d'elle une « Mère l'Oye de Montparnasse». Raymond Queneau aimait à répéter qu'essayer de la comprendre n'était pas chose aisée, ajoutant: «La traduire encore moins, la présenter bien moins encore. » Philippe Blanchon la restitue à sa juste place : celle d'un écrivain unique impliqué avec énergie dans son siècle. éditeur

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Version 24.11.02