De l'autre côté du périph', 2, Le meilleur de l'âme [Images animées] / Bertrand Tavernier, réal., scénario ; Nils Tavernier, réal.
Uniform Title: 17064071De l'autre côté du périph', film, français, Extrait, lien automatiqueLanguage: français.Country: France.Publication: [Paris] : Centre national du cinéma et de l'image animée [distrib.], [DL 2013]Description: 1 fichier vidéo numérique (1 h 03 min) : coul. (PAL), son.Series: Images de la culture, Sciences humaines et faits de sociétéDewey: 307.760 94436, 23Classification: 201Abstract: En février 1997, 66 cinéastes protestant contre la loi Debré réglementant le séjour des étrangers en situation irrégulière signent un manifeste appelant à la désobéissance civique. Eric Raoult, alors ministre délégué à la ville et à l'intégration, adresse une lettre à chacun des signataires dénonçant dans leur démarche «une erreur de scénario et de casting». Il invite les cinéastes à passer un mois dans une banlieue pour y «apprécier les difficultés économiques et financières rencontrées par les élus et nos compatriotes» et pour y découvrir le «vrai visage» de l'immigration. Bertrand Tavernier et son fils Nils se rendent, comme les y invite le ministre, à la cité des Grands Pêchers à Montreuil, dans la proche banlieue parisienne, avec un objectif, riposter, et une méthode, donner la parole aux habitants de la cité et aux résidents d'un foyer d'immigrés implanté dans le quartier. Pendant de longues semaines, ils interrogent et filment les habitants : les jeunes, leurs parents, les animateurs sociaux, les militants associatifs, le député maire de la ville et les policiers chargés de la surveillance du quartier. Ces rencontres permettent de dresser un état des lieux contradictoire des problèmes de la cité : chômage, logement, expulsions, racisme, vandalisme et délinquance. La démarche même des réalisateurs, leur détermination à exprimer un point de vue bienveillant et philanthropique plutôt qu'économique ou politique ne permet pas d'engager une réflexion profonde sur l'immigration et ses contradictions. Le film permet toutefois aux habitants de s'exprimer, d'évoquer leurs problèmes quotidiens, leurs luttes et leurs espoirs. (source : Images de la culture).Subject - Topical Name: Vie en banlieue -- France -- Montreuil (Seine-Saint-Denis) | Enfants d'immigrés -- France -- Montreuil (Seine-Saint-Denis) Subject - Form: Récits personnels | non fiction | institutionnel | document d'origine : diffusion à la télévision | documentaireItem type | Current library | Call number | Status | Barcode | |
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DVD | Bibliothèque Tamil Général Stacks | 307.760 94436 (Browse shelf(Opens below)) | Available | 1315641 |
Cop. : France 2 : Little bear, 1997
Autre forme de titre : Le meilleur de l'âme
En février 1997, 66 cinéastes protestant contre la loi Debré réglementant le séjour des étrangers en situation irrégulière signent un manifeste appelant à la désobéissance civique. Eric Raoult, alors ministre délégué à la ville et à l'intégration, adresse une lettre à chacun des signataires dénonçant dans leur démarche «une erreur de scénario et de casting». Il invite les cinéastes à passer un mois dans une banlieue pour y «apprécier les difficultés économiques et financières rencontrées par les élus et nos compatriotes» et pour y découvrir le «vrai visage» de l'immigration. Bertrand Tavernier et son fils Nils se rendent, comme les y invite le ministre, à la cité des Grands Pêchers à Montreuil, dans la proche banlieue parisienne, avec un objectif, riposter, et une méthode, donner la parole aux habitants de la cité et aux résidents d'un foyer d'immigrés implanté dans le quartier. Pendant de longues semaines, ils interrogent et filment les habitants : les jeunes, leurs parents, les animateurs sociaux, les militants associatifs, le député maire de la ville et les policiers chargés de la surveillance du quartier. Ces rencontres permettent de dresser un état des lieux contradictoire des problèmes de la cité : chômage, logement, expulsions, racisme, vandalisme et délinquance. La démarche même des réalisateurs, leur détermination à exprimer un point de vue bienveillant et philanthropique plutôt qu'économique ou politique ne permet pas d'engager une réflexion profonde sur l'immigration et ses contradictions. Le film permet toutefois aux habitants de s'exprimer, d'évoquer leurs problèmes quotidiens, leurs luttes et leurs espoirs. (source : Images de la culture)
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