Vive la baleine [Images animées] / Mario Ruspoli, Chris Marker, réal. ; Casamayor, Valérie Mayoux, voix ; Lalan, chant
Uniform Title: 17884605Vive la baleine, film, françaisLanguage: français.Country: France.Publication: [Paris] : Centre national du cinéma et de l'image animée [distrib.], [DL 2013]Description: 1 fichier vidéo numérique (16 min 08 s) : coul., son.Series: Images de la culture, Sciences humaines & faits de sociétéDewey: 591.68, 23Classification: 203Abstract: Quatorze ans après Les Hommes de la baleine, remarquable documentaire sur la pêche au cachalot aux Açores, Mario Ruspoli réalise avec Chris Marker (accrédité au générique à la mention "vivats"), Vive la baleine, une ode à l'animal légendaire. C'est ici la baleine qui raconte son histoire, dénonçant, à travers plusieurs siècles d'illustrations, l'acharnement dont elle est victime, condamnation sans appel de la cruauté de l'homme. Entre Les Hommes de la baleine et Vive la baleine, les mentalités ont évolué. L'écologie a fait son apparition, l'esprit de lutte de 1968 également. Nous passons ainsi du film ethnographique, où l'homme et la nature étaient traités sur un plan d'égalité, au pamphlet incisif, proche de l'esthétique du tract, dénonçant le sort que le monde capitaliste réserve à la nature. La puissance coloniale des États se mesurait autrefois au nombre de baleiniers et l'invention du canon-harpon a transformé la pêche en massacre industriel. Esthétique du tract aussi parce que le film fait abondamment appel à une iconographie tirée de la peinture ou de l'image imprimée. Un tract poétique toutefois, où l'on sent la griffe de Chris Marker, son empathie pour les animaux, son goût borgésien de l'imaginaire. La douce voix de la baleine nous emmène aux confins du conte et du programme pour enfants, et malgré sa terrible histoire, la fascination pour la créature merveilleuse finit bien par l'emporter. (Sylvain Maestraggi)/ Images de la culture).Subject - Topical Name: Baleines | Animaux menacés Subject - Form: non fiction | institutionnelItem type | Current library | Call number | Status | Barcode | |
---|---|---|---|---|---|
DVD | Bibliothèque Tamil Général Stacks | 591.68 (Browse shelf(Opens below)) | Available | 1315745 |
Browsing Bibliothèque Tamil shelves, Shelving location: Général Stacks Close shelf browser (Hides shelf browser)
591.650 83 Poison, mon expo illustrée | 591.68 Terra, their future is our future, 24431 species threatened with extinction | 591.68 Nature secrète, merveilles insolites du vivant | 591.68 Vive la baleine | 591.680 83 Les animaux menacés | 591.680 83 Avis de recherche, 50 animaux en danger à retrouver et à protéger | 591.680 83 Les animaux en danger |
Contient un montage de documents d'archives
Cop. : Argos films, 1972
Quatorze ans après Les Hommes de la baleine, remarquable documentaire sur la pêche au cachalot aux Açores, Mario Ruspoli réalise avec Chris Marker (accrédité au générique à la mention "vivats"), Vive la baleine, une ode à l'animal légendaire. C'est ici la baleine qui raconte son histoire, dénonçant, à travers plusieurs siècles d'illustrations, l'acharnement dont elle est victime, condamnation sans appel de la cruauté de l'homme. Entre Les Hommes de la baleine et Vive la baleine, les mentalités ont évolué. L'écologie a fait son apparition, l'esprit de lutte de 1968 également. Nous passons ainsi du film ethnographique, où l'homme et la nature étaient traités sur un plan d'égalité, au pamphlet incisif, proche de l'esthétique du tract, dénonçant le sort que le monde capitaliste réserve à la nature. La puissance coloniale des États se mesurait autrefois au nombre de baleiniers et l'invention du canon-harpon a transformé la pêche en massacre industriel. Esthétique du tract aussi parce que le film fait abondamment appel à une iconographie tirée de la peinture ou de l'image imprimée. Un tract poétique toutefois, où l'on sent la griffe de Chris Marker, son empathie pour les animaux, son goût borgésien de l'imaginaire. La douce voix de la baleine nous emmène aux confins du conte et du programme pour enfants, et malgré sa terrible histoire, la fascination pour la créature merveilleuse finit bien par l'emporter. (Sylvain Maestraggi)/ Images de la culture)
There are no comments on this title.