La femme du Gange [Images animées] / Marguerite Duras, réal., scénario ; Carlos d'Alessio, comp. ; Catherine Sellers, Nicole Hiss, Gérard Depardieu... [et al.], act.
Uniform Title: 16743606La femme du Gange, film, français, lien automatiqueLanguage: français.Country: France.Publication: [Bry-sur-Marne] : Institut national de l'audiovisuel, Direction de la production [éd.], [Vendoeuvres] : Arcadès [distrib.], 2014Description: 1 DVD vidéo monoface simple couche toutes zones (1 h 44 min) : 16/9, coul. (PAL), son., stéréoClassification: 207Abstract: Diffusé le 5 janvier 1974, "La femme du Gange" est tiré du roman "Le Vice-Consul". Un homme, riche propriétaire terrien, revient dans une ville en bord de mer où il vécut une passion amoureuse. Il porte le deuil de la femme aimée. Son coeur est froid comme la station balnéaire représentée à l'image : nous sommes à la mer en hiver, littéralement hors saison. Dans ce film radical, dépouillé, composé de plans fixes et tout en profondeur de champ, Duras voulait désynchroniser l'image et le son de sorte à proposer deux films : l'un serait froid, l'autre brûlant. Au final il n'y en a qu'un : un fantastique ciné-poème (source : éditeur).Subject - Form: film dramatique | fiction | édition vidéo commerciale | document d'origine : diffusion à la télévisionItem type | Current library | Status | Barcode | |
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DVD | Bibliothèque Tamil Général Stacks | Available | 1339621 |
Contient aussi : préambule de Marguerite Duras ; à propos du film (extrait des "Lieux de Marguerite Duras" de Michelle Porte)
Notice rédigée d'après la jaquette
Cop. : INA, 1974
Diffusé le 5 janvier 1974, "La femme du Gange" est tiré du roman "Le Vice-Consul". Un homme, riche propriétaire terrien, revient dans une ville en bord de mer où il vécut une passion amoureuse. Il porte le deuil de la femme aimée. Son coeur est froid comme la station balnéaire représentée à l'image : nous sommes à la mer en hiver, littéralement hors saison. Dans ce film radical, dépouillé, composé de plans fixes et tout en profondeur de champ, Duras voulait désynchroniser l'image et le son de sorte à proposer deux films : l'un serait froid, l'autre brûlant. Au final il n'y en a qu'un : un fantastique ciné-poème (source : éditeur)
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