Dessins du réel [Images animées]
Piece-Analytic Level: a001000, Cartographie (17 min) / Sébastien Coupy, réal. • a002000, Espace (14 min) / Éléonore Gilbert, réal. • a003000, Fort intérieur (42 min) / Chris Pellerin, réal. • a004000, Kijima stories (30 min) / Laetitia Mikles, réal. • a005000, Le printemps de Sant Ponç (20 min) / Eugenia Mumenthaler, David Epiney, réal. • a006000, Lame de fond (57 min) / Perrine Michel, réal.Language: multilingue.Country: France.Publication: [Paris] : Chalet pointu [éd., distrib.], 2014Description: 1 DVD vidéo monoface simple couche toutes zones (3 h) : 16/9, n. et b. et coul. (PAL), son.Series: La petite collection de "Bref" : le magazine du court métrage, #37Subject - Topical Name: Communication écrite | Dessin | Psychoses délirantes aiguës Subject - Form: non fiction | édition vidéo commerciale | court métrage | Récits personnels | création Subject Category: Information, communication | PsychologieItem type | Current library | Status | Barcode | |
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DVD | Bibliothèque Tamil Général Stacks | Available | 1384411 |
Contient aussi : biofilmos des réalisateurs
Notice rédigée d'après la jaquette
a001000 Cop. : S. Coupy : 100 transitions, 2008
a002000 Cop. : les Films cabanes, 2014
a003000 Cop. : Productions de l'oeil sauvage, 2012
a004000 Cop. : Association Night lights, 2013
a005000 Cop. : Alina films, 2007
a006000 Après la mort de son père, Perrine Michel retourne visiter la maison familiale que sa mère s'apprête à vendre. Les souvenirs d'enfance cèdent bientôt la place à un sentiment d'oppression et le parquet qui craque laisse échapper un terrible secret. Victime d'une bouffée délirante, internée à l'hôpital psychiatrique, la narratrice s'engage alors dans un parcours de rémission qui aboutit à l'écriture du film. Objet déroutant, "Lame de fond" reconstitue le passage de la réalisatrice à travers un épisode psychotique. Passage qui s'amorce de manière insensible et pourtant radicale. Les traumatismes de l'enfance réveillés par la mort du père et la vente de la maison se changent en syndrome de persécution : la narratrice s'imagine victime d'un complot politique, une machination de l'extrême droite forçant les hommes de sa famille à maltraiter leurs enfants. Les passagers du métro, les regards sur les affiches, les émissions de radio, tout semble la désigner, la surveiller. Les psychiatres à leur tour cherchent à étouffer la vérité. Et pourtant, tout doucement, arrive la fin du délire. Dans ce processus de guérison, le film joue une fonction cathartique. Pour témoigner de l'état de trouble de la narratrice, il emprunte les formes les plus poétiques, passant du flou à la photographie, faisant appel à l'animation et au collage. Celle qui "se faisait des films" parvient à se sauver par le cinéma. (source : Sylvain Maestraggi / Images de la Culture)
a006000 Cop. : Hors saison, 2013
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