Sarcellopolis [Images animées] / Sébastien Daycard-Heid, Bertrand Dévé, réal., aut. ; France télévisions, commanditaire ; Xavier de Thoury, comp. ; Gilles Ouaki, François Pupponi, Michel Wieviorka... [et al.], participants

Secondary Author: Daycard-Heid, Sébastien, Directeur, Auteur;Dévé, Bertrand, Directeur, Auteur;Thoury, Xavier de, Compositeur;Ouaki, Gilles, 1946-...., Personne interrogée;Pupponi, François, 1962-...., Personne interrogée;Wieviorka, Michel, 1946-...., Personne interrogéeCorporate Author (Secondary): France télévisions, InitiateurLanguage: français.Country: France.Distribution: [Paris] : France télévisions [producteur][Asnières-sur-Seine] : Yes sir films [producteur délégué]Copyright date: 2015Description: 1 fichier vidéo numérique (52 min) : coul. avec séquences n. et b., son.Dewey: 307.760 944367, 23Classification: 201Abstract: Sarcelles était un modèle du vivre ensemble. Après-guerre, la ville a connu un développement vertigineux, accueillant mal-logés et vagues migratoires. Autrefois symbole de mixité sociale et ethnique, elle laisse place aujourd'hui au communautarisme, dont les médias relayent images d'émeutes et de conflits. Face à la désillusion d'une utopie urbaine, rencontre avec ses habitants, commerçants, élus et hommes de foi : entre nostalgie et espoir. En moins de 20 ans, cette ville nouvelle de la banlieue nord parisienne a vu sa population multiplier par six, devenant le plus vaste programme d'habitat collectif de France. Aujourd'hui, Sarcelles compte 90 communautés pour 60 000 habitants. L'artiste photographe Gilles Ouaki, Sarcellois de la première heure se rappelle : "On n'avait qu'une seule envie, c'était de casser toutes les barrières pour pouvoir vivre ensemble." Certains se souviennent du centre culturel, berceau du rap français, fermé en 1995 pour cause d'amiante et jamais réouvert. La dégradation du bâti, laissé à l'abandon par les pouvoirs publics, a fait fuir les classes moyennes, laissant grandir le sentiment d'entre-soi social. Si, aujourd'hui, certaines barres ont été remplacées par des "résidences" aux sculptures pharaoniques et aux nombreux digicodes, et que des initiatives émergent pour recréer du lien, quelle identité pour une jeunesse tiraillée entre appartenance communautaire et citoyenneté républicaine ? (source : Romain Hecquet / Images de la culture).Subject - Topical Name: Vie en banlieue -- France -- Sarcelles (Val-d'Oise) -- 1990- | Grands ensembles -- Aspect social -- France -- Sarcelles (Val-d'Oise) -- 1990- Subject - Geographical Name: Sarcelles (Val-d'Oise) -- Histoire Subject - Form: Récits personnels | non fiction | document d'origine : diffusion à la télévision
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Contient des images d'archives

Présenté au festival "Films and companies" 2017

Sarcelles était un modèle du vivre ensemble. Après-guerre, la ville a connu un développement vertigineux, accueillant mal-logés et vagues migratoires. Autrefois symbole de mixité sociale et ethnique, elle laisse place aujourd'hui au communautarisme, dont les médias relayent images d'émeutes et de conflits. Face à la désillusion d'une utopie urbaine, rencontre avec ses habitants, commerçants, élus et hommes de foi : entre nostalgie et espoir. En moins de 20 ans, cette ville nouvelle de la banlieue nord parisienne a vu sa population multiplier par six, devenant le plus vaste programme d'habitat collectif de France. Aujourd'hui, Sarcelles compte 90 communautés pour 60 000 habitants. L'artiste photographe Gilles Ouaki, Sarcellois de la première heure se rappelle : "On n'avait qu'une seule envie, c'était de casser toutes les barrières pour pouvoir vivre ensemble." Certains se souviennent du centre culturel, berceau du rap français, fermé en 1995 pour cause d'amiante et jamais réouvert. La dégradation du bâti, laissé à l'abandon par les pouvoirs publics, a fait fuir les classes moyennes, laissant grandir le sentiment d'entre-soi social. Si, aujourd'hui, certaines barres ont été remplacées par des "résidences" aux sculptures pharaoniques et aux nombreux digicodes, et que des initiatives émergent pour recréer du lien, quelle identité pour une jeunesse tiraillée entre appartenance communautaire et citoyenneté républicaine ? (source : Romain Hecquet / Images de la culture)

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Version 24.11.02