Billy Wilder et la musique d'écran [Texte imprimé] : filmer l'invisible / Julie Michot
Language: français.Country: France.Publication: Reims : Épure, Éditions et presses universitaires de Reims, DL 2017Manufacture: 14-Condé-sur-Noireau : Impr. Corlet numériqueDescription: 1 vol. (200 p.) ; 21 cmISBN: 9782374960357.Series: Studia remensia, 2264-3605, 5Dewey: 791.430 233092, 23Classification: 791Abstract: Julie Michot relève le défi d'aborder Billy Wilder par le biais de la musique et nous ouvre une perspective passionnante en nous faisant réaliser à la fois l'abondance et la diversité de cette dimension dans l'œuvre du cinéaste. De plus, dans cette analyse, la musique, parce qu'elle sous-tend le dialogue et le son, devient à la fois un outil d'investigation original et un instrument de création considérable et, jusqu'ici, négligé. Car, par le biais de la musique, c'est la maîtrise chorégraphique qui est étudiée (l'hôtel-cabaret de Berlin-Est dans Un, deux, trois, qui culmine dans les trémoussements de Liselotte Pulver au son de La Danse du sabre ; la ronde effrénée des danseurs autour de Watson dans La Vie privée de Sherlock Holmes) ; puis la gestion de la mécanique des corps devient naturellement celle des voix et des répliques, voire des détails faciaux (il y a chez Wilder une chorégraphie du visage de Jack Lemmon). Bref, en un remarquable équilibre de rigueur analytique et de gourmandise cinéphile, Julie Michot célèbre un art complet, souverain, bien plus profond et complexe que ses apparences enivrantes le laissent supposer. Extrait de la Préface de Christian Viviani Julie Michot est maître de conférences en anglais à l'Université du Littoral Côte d'Opale.Subject - Personal Name: Wilder Billy -- Critique et interprétation Subject - Topical Name: Cinéma et musique | Musique de filmItem type | Current library | Call number | Status | Barcode | |
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Book | Bibliothèque Tamil Général Stacks | 791.430 233092 (Browse shelf(Opens below)) | Available | 1098569 |
Bibliogr. p. 179-188. Discogr. p. 189-190. Filmogr. p. 173-178. Index
Julie Michot relève le défi d'aborder Billy Wilder par le biais de la musique et nous ouvre une perspective passionnante en nous faisant réaliser à la fois l'abondance et la diversité de cette dimension dans l'œuvre du cinéaste. De plus, dans cette analyse, la musique, parce qu'elle sous-tend le dialogue et le son, devient à la fois un outil d'investigation original et un instrument de création considérable et, jusqu'ici, négligé. Car, par le biais de la musique, c'est la maîtrise chorégraphique qui est étudiée (l'hôtel-cabaret de Berlin-Est dans Un, deux, trois, qui culmine dans les trémoussements de Liselotte Pulver au son de La Danse du sabre ; la ronde effrénée des danseurs autour de Watson dans La Vie privée de Sherlock Holmes) ; puis la gestion de la mécanique des corps devient naturellement celle des voix et des répliques, voire des détails faciaux (il y a chez Wilder une chorégraphie du visage de Jack Lemmon). Bref, en un remarquable équilibre de rigueur analytique et de gourmandise cinéphile, Julie Michot célèbre un art complet, souverain, bien plus profond et complexe que ses apparences enivrantes le laissent supposer. Extrait de la Préface de Christian Viviani Julie Michot est maître de conférences en anglais à l'Université du Littoral Côte d'Opale éditeur
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