ODS = Oeil du sphinx

Jean-Charles Pichon, en progressant dans son e´tude, de´couvre dans diffe´rentes civilisations d'autres cycles propose´es par d'autres philosophes, prophe`tes, me´taphysiciens, astronomes, mystiques, physiciens ou « ontologues », peut importe leurs noms, qu'il s'agisse des Sume´riens, des Mayas, des Grecs, des E´gyptiens, des kabbalistes, etc. Ces e´mergences n'obe´issent pas aux re`gles qui imposent des limites, puisqu'e´mergeant de l'e´ternite´, de l'infini, elles ne peuvent en avoir. Comme Pi, nous ne pourrons que nous approcher au plus pre`s possible d'un temps circulaire. Car pour Jean-Charles le temps est immobile, comme la mer ou` les vagues sont provoque´es par des ondes, sans qu'elle-me^me ne bouge. Ces diffe´rences que Jean-Charles Pichon de´finit comme « un degre´ de liberte´ » le conduisent a` proposer une annexe dans laquelle il catalogue des cycles appartenant a` plusieurs civilisations. Ces cycles offrent effectivement des diffe´rences dans la dure´e, mais pas dans leur structure ni leurs influences : nous y retrouvons les arche´types, qu'ils soient Poissons, Vierge, Serpent, Ge´meaux, Balance, Taureau, etc., anime´s par les me^mes concepts me´taphysiques, les me^mes ide´es. Cette mise en perspective lui permit sans doute de se libe´rer du poids de L'Homme et les dieux. éditeur