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003 http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb45424265c
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_brel.
_d25 EUR
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200 1 _aSérie indochinoise
_bTexte imprimé
_ehommage à Marguerite Duras
_fChristine Spengler
_gchoix de textes de Marguerite Duras par Joëlle Pagès-Pindon
214 0 _aParis
_cCherche midi
_dDL 2017
214 3 _aimpr. en Chine
215 _a1 vol. (68 p.)
_cill. en coul.
_d25 cm
330 _aDeux femmes, deux destins, une œuvre croisée À chaque retour de reportage, en rentrant des territoires de guerre qu'elle photographiait en noir et blanc, Christine Spengler réalisait des photomontages aux couleurs flambloyantes pour exorciser sa douleur et célébrer la vie, l'amour et la sensualité. En 1988, à la mort de sa mère, l'artiste surréaliste Huguette Spengler, elle entame une autre vie, " la vie en blanc ". Connaissant sa fascination pour Marguerite Duras, qu'il lui avait présentée, son ami le prince Costa Comnène lui remet alors une photographie de l'écrivaine enfant, à l'âge de son amour pour L'Amant. De ce portrait iconique, la photographe réalise une série de douze photomontages, déclinaisons chromatiques drapées de soie, incrustées de fleurs exotiques, de perles et de nacre qui évoquent l'univers durassien des années indochinoises. Elle offrira le premier à Marguerite Duras, qui le conservera jusqu'à sa mort dans son appartement de la rue Saint-Benoît. Cette Série indochinoise associe les douze photomontages de Christine Spengler à autant d'extraits puisés dans l'oeuvre de Marguerite Duras. La rencontre inattendue de ces textes et de ces portraits enluminés met en évidence les correspondances entre les trajectoires de l'une et de l'autre, dont le destin commun fut marqué par la mort tragique d'un jeune frère. Ainsi entrent en résonance deux imaginaires artistiques et se recrée le mystère de l'alchimie durassienne. " Et si la grande photographe et reporter de guerre Christine Spengler avait écrit la plus captivante biographie de Marguerite Duras en réalisant ces douze photomontages ? ", Alain Vircondelet " Ce livre d'hommage offre une variation nouvelle et personnelle d'une photographie qui doit son pouvoir de fascination "à ce manque d'avoir été faite' : les photomontages de Christine Spengler font de cette image qui hante le récit de L'Amant une présence-absence ouverte à l'infini de la création... ", Joëlle Pagès-Pindon
_2éditeur
686 _a804
_2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
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