000			02200cam a2200313 4500
001			154822
003			http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb45543984x
010			_a9782377290482 _bbr. _d10 EUR
020			_aFR _b01861800
021			_aFR _bDLE-20180712-46835
073		0	_a9782377290482
090			_a154822
100			_a20180712d2018 m y0frey50 ba
101	0		_afre
102			_aFR
105			_a||||z 00|a|
106			_ar
181		0	_601 _ai _bxxxe
181			_602 _ctxt _2rdacontent
182		0	_601 _an
182			_602 _cn _2rdamedia
200	1		_aHeureux les simples d'esprit _bTexte imprimé _ele ciel leur est acquis _fCara Zina
214		0	_aParis _cLibertalia _dDL 2018
214		3	_a85-Ligugé _cImpr. Aubin
215			_a1 vol. (218 p.) _d18 cm
330			_a« Nerveux et élégant, le style de Cara Zina a chaussé des rangers pour répandre une bonne humeur assassine. » Virginie Despentes. « On était les rois du monde et on ne pensait pas pour toujours, mais à jamais. De sales gosses pas censés atteindre l'âge adulte, sauf que moi je n'avais aucun tatouage ni piercing, rien d'indélébile ; quand je rentrais chez mes parents, de temps en temps j'enfilais ma redingote et j'allais à l'opéra avec ma mère. Ma famille c'était pas du Zola, je n'avais rien à fuir, je n'étais pas mal aimée […]. Les Bérus ont vieilli, se sont mis à chanter Mineurs en danger plutôt que Vive le feu, comme NTM a fini sur Pose ton gun après Qu'est-ce qu'on attend pour ne plus suivre les règles du jeu ? Toute fièvre se négocie finalement. » L'auteure de Handi-Gang (Libertalia, 2017) s'inspire de sa jeunesse pour imaginer les déboires d'une punkette assagie que la vie s'acharne à ramener dans la marge. Elle raconte au passage la formation du premier groupe de punk rap féministe et décrit avec la même dérision ses fiascos sportifs, le handicap de son fils, ses déboires amoureux, l'hôpital, l'école et la quête du bonheur. _2éditeur
686			_a803 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700			_315690794 _oISNI0000000004506552 _aZina _bCara _f1968-.... _4070
801		0	_aFR _bFR-751131015 _c20180712 _gAFNOR _hFRBNF455439840000004