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200 | 1 |
_aL'autorité de la chose jugée devant l'arbitre du commerce international _bTexte imprimé _fBasile Zajdela _gpréface de Pierre Mayer |
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214 | 0 |
_aBruxelles _cBruylant _dDL 2018 |
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214 | 3 | _aimpr. en Belgique | |
215 |
_a1 vol. (435 p.) _d24 cm |
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225 |
_aArbitrage _edroit international _v10 |
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300 | _aBibliogr. p. 395-426. Index | ||
300 | _aDiffusé en France | ||
328 | 0 |
_zTexte remanié de _bThèse de doctorat _cDroit privé _eParis 1 _d2015 |
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330 |
_aL'autorité de la chose jugée est consubstantielle à l'idée de justice. Institution privée et contractuelle, l'arbitrage constitue une justice quand même. À ce titre, elle doit logiquement composer avec l'autorité de la chose jugée. D'abord, il est essentiel que les décisions produites par cette justice puissent bénéficier de l'autorité de la chose jugée. Ensuite, il faut que les juridictions arbitrales respectent l'autorité des décisions qui ont été rendues antérieurement. C'est ce second aspect qui sera au cœur de cette étude.Du point de vue de l'arbitre du commerce international, l'autorité des décisions antérieures, qu'elles soient arbitrales ou étatiques, soulève des difficultés inédites qui tiennent pour l'essentiel à la position autonome de l'arbitre international, investi d'une mission juridictionnelle ponctuelle par la volonté des parties. Ainsi, l'arbitre n'est a priori pas tenu par les considérations relatives à la cohérence d'un ordre juridique précis, à la paix sociale ou encore à la bonne administration de la justice. Le seul caractère juridictionnel de sa mission ne lui impose donc pas nécessairement la prise en compte de la chose précédemment jugée.Tout bien analysé, il s'avère que c'est l'étude de la volonté la plus raisonnable des parties qui conduira, en principe, l'arbitre à reconnaitre la normativité des précédentes décisions puis à leur attribuer une certaine autorité. Sans doute, le fondement subjectif de l'obligation pour l'arbitre de respecter l'autorité de la chose jugée ainsi que l'absence presque totale de contrôle des juridictions étatiques sur cette question conduisent à reconnaître à l'arbitre une vaste liberté dans le choix des règles ou principes applicables. À condition toutefois de distinguer les différentes formes empruntées par l'autorité de la chose jugée – l'exception de chose jugée, l'autorité stricto sensu de la chose jugée et l'exception de chose non jugée – il est possible de dégager des règles, conformes aux attentes... _2éditeur |
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410 | 0 |
_042715338 _tArbitrage (Bruxelles) _x2294-5628 _v10 |
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606 |
_311967788 _aArbitrage commercial international _2rameau |
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606 |
_311980322 _aChose jugée _2rameau |
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676 |
_a341.522 _v23 |
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686 |
_a340 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française |
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700 |
_317788596 _oISNI000000047433381X _aZajdela _bBasile _f1985-.... _4070 |
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702 |
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_aFR _bFR-751131015 _c20181029 _gAFNOR _hFRBNF456096580000003 |