000 02092cam a2200349 4500
001 179620
003 http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb45615996z
010 _a9782130801436
_bbr.
_d29 EUR
020 _aFR
_b01902346
021 _aFR
_bDLE-20181108-71397
073 0 _a9782130801436
090 _a179620
100 _a20181108d2018 m y0frey50 ba
101 0 _afre
102 _aFR
105 _a||||z 00|y|
106 _ar
181 0 _601
_ai
_bxxxe
181 _602
_ctxt
_2rdacontent
182 0 _601
_an
182 _602
_cn
_2rdamedia
200 1 _aApologie de John Rawls
_bTexte imprimé
_fAlain Boyer
214 0 _aParis
_cPUF
_dDL 2018
214 3 _a58-Clamecy
_cImpr. Laballery
215 _a1 vol. (335 p.)
_d22 cm
300 _aBibliogr., 22 p.
330 _aL'œuvre de John Rawls est désormais considérée par tous comme ayant fait époque, mais il persiste certaines objections radicales faites à son projet, notamment développées par Robert Nozick. Le libéralisme politique et la justice comme équité ne seraient pas compatibles avec l'idée que nous avons de la personne. L'ambition de ce livre est de répondre à ces objections et à quelques autres. Il s'agit donc d'une « apologie », au sens grec : une « défense ». La théorie rawlsienne de la justice, qui repose sur les idées de solidarité et de réciprocité, n'implique pas une conception de la personne « abstraite », sans qualités ni attachements, hors-du-monde. L'objection centrale de Rawls contre la grande tradition utilitariste, qu'elle « ne prend pas au sérieux la distinction des personnes », ne saurait être retournée contre lui. Sa philosophie libérale et sociale repose sur l'idée de l'intégrité de la personne.
_2éditeur
600 _312057652
_aRawls
_bJohn
_f1921-2002
_312042895
_xCritique et interprétation
_2rameau
676 _a191
_v23
686 _a100
_2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _313545560
_oISNI0000000121225354
_aBoyer
_bAlain
_f1954-....
_4070
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c20181108
_gAFNOR
_hFRBNF456159960000006