000 03461cam a2200421 4500
001 197593
003 http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb456603933
010 _a9791035100865
_bbr.
_d37 EUR
020 _aFR
_b01908353
021 _aFR
_bDLE-20190130-7139
073 0 _a9791035100865
090 _a197593
100 _a20190130d2018 m h0frey50 ba
101 0 _afre
102 _aFR
105 _a||||z 00|y|
106 _ar
181 0 _601
_ai
_bxxxe
181 _602
_ctxt
_2rdacontent
182 0 _601
_an
182 _602
_cn
_2rdamedia
200 1 _aCommunautés d'habitants au Moyen âge
_bTexte imprimé
_eXIe-XVe siècles
_ftravaux coordonnés par Joseph Morsel
214 0 _aParis
_cÉditions de la Sorbonne
_d2018
214 3 _a54-Heillecourt
_cImpr. Bialec
215 _a1 vol. (580 p.)
_cill.
_d24 cm
225 _aHistoire ancienne et médiévale
_iSérie du LAMOP
_v5
300 _aIndex
308 _aISSN de la collection principale : 0290-4500. Numérotation dans la collection principale : 157
330 _aLa formation des communautés d'habitants (sous une forme villageoise ou urbaine, groupée ou non) est un phénomène clé qui a touché l'ensemble de l'Occident latin à partir du XIe siècle. Son étude a connu une certaine vogue dans le dernier quart du XXe siècle, dans divers pays d'Europe, où l'on s'est toutefois appuyé sur des présupposés notionnels et méthodologiques très variables qui ont abouti à des résultats intéressants mais peu articulés. Le travail collectif mené dans le cadre du LaMOP (Paris 1) a visé à dépasser l'hétérogénéité des points de vue, à l'aide d'hypothèses de travail spécifiques. En particulier, il s'est agi de prendre au sérieux le fait social qu'est « l'habiter », impliquant entre autres que la cohésion des communautés reposait moins sur des rapports de parenté que sur l'idée d'appartenance commune à un lieu. Cet attachement se fondait quant à lui sur la définition d'un certain nombre de ressources réservées et liées à l'habitat lui-même, d'une part, et sur la définition de pôles d'attraction durable et eux aussi monopolistiques : les églises paroissiales et leur cimetière. Avec ces deux référents que sont l'habitat et la paroisse, le statut dépendant des tenanciers paysans passe à l'arrière-plan : les agriculteurs dépendants ne sont donc plus pensés par rapport à leurs seigneurs mais par rapport à leur lieu de résidence et de culte. Les dépendants sont ainsi transformés en habitants, et les communautés d'habitants peuvent donc être considérées comme des formes d'enchantement, de la domination sociale, contribuant ainsi à la reproduction à long terme du système seigneurial.
_2éditeur
410 0 _043620493
_tHistoire ancienne et médiévale. Série du LAMOP
_x2267-8352
_v5
410 0 _034228871
_tPublications de la Sorbonne. Histoire ancienne et médiévale
_x0290-4500
_v157
606 _313340864
_aCommunautés
_311931301
_yEurope
_311975717
_zMoyen âge
_2rameau
606 _312248924
_aComportement spatial
_311931301
_yEurope
_311975717
_zMoyen âge
_2rameau
606 _311933328
_aStructure sociale
_311931301
_yEurope
_311975717
_zMoyen âge
_2rameau
676 _a304.230 9
_v23
686 _a940
_2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
702 _312438988
_oISNI0000000382359174
_aMorsel
_bJoseph
_f1961-....
_4651
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c20190130
_gAFNOR
_hFRBNF456603930000007