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200 1 _aCinémas en communs
_bTexte imprimé
_fRobert Bonamy
214 0 _aMontreuil
_cles Éditions de l'Oeil
_dDL 2020
214 3 _aimpr. en République tchèque
215 _a1 vol. (176 p.)
_cill. en coul.
_d18 cm
330 _aLes textes réunis dans ce livre (provoqués par quelques films de quelques cinéastes à l'extrême pointe du contemporain : Nicolas Klotz et Élisabeth Perceval, Tariq Teguia, Nathalie Nambot et Maki Berchache, le groupe Boris Barnet, Ghassan Salhab, Pierre Creton), portent sur une série d'hypothèses cinématographiques nouées autour d'un terme au pluriel : communs. Ces films ne calquent pas leurs conduites sur un scénario sans bifurcations, un calcul, encore moins un programme dont ils feraient un exposé mécanique. Ils constituent plutôt une série de poussées, non sans désordre, de fugues, qui dessinent une sorte de fraternité humaine et artistique. Ce livre préfère les ouvertures, le pluriel des communs et des multiples formes de singularisations à la seule recherche de la singularité, aussi notable soit-elle. Cinémas en communs est animé par un peu plus que des hypothèses, un peu moins que des certitudes : un désir. De cinémas. De communs.
_2éditeur
676 _a791.430 1
_v23
686 _a791
_2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
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