000 03780cam a2200433 4500
001 283349
003 http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb46537394g
010 _a9782731411621
_bbr.
_d15 EUR
020 _aFR
_b02024607
021 _aFR
_bDLE-20200311-17095
073 0 _a9782731411621
090 _a283349
100 _a20200311d2020 k h0frey50 ba
101 0 _afre
102 _aFR
105 _a||||||||10|y|
106 _ar
181 0 _601
_ai
_bxxxe
181 _602
_ctxt
_2rdacontent
182 0 _601
_an
182 _602
_cn
_2rdamedia
200 1 _aRaisons
_bTexte imprimé
_ela question méta-éthique
_eautour de l'oeuvre de John Skorupski
_f[publié par le] Laboratoire interdisciplinaire de droit des médias et des mutations sociales LID2MS de l'Université d'Aix-Marseille
_gBruno Langlet et Jean-Maurice Monnoyer, dir.
214 0 _aAix-en-Provence
_cPresses universitaires d'Aix-Marseille
_d2020
214 3 _a13-Aix-en-Provence
_cService impr. Université d'Aix-Marseille
215 _a1 vol. (174 p.)
_d25 cm
225 _aCollection Inter-normes
300 _aTextes issus de la première des Journées philosophiques de Gordes qui s'est tenue le 17 novembre 2016
300 _aBibliogr. p. 167-174
330 _aQuelle est la nature de ce que nous tenons pour des raisons de croire, de sentir, ou d'agir? Ces raisons se caractérisent par leur normativité implicite qui fait qu'elles nous apparaissent comme ce qu'il faut croire, sentir, ou faire. Malgré leur omniprésence dans notre existence, savoir ce que sont ces raisons ne va pas de soi : la question de leur nature n'est pas indépendante de l'épistémologie que nous avons, c'est-à-dire de la connaissance que nous en prenons. Si elles consistent dans des faits, ces derniers ne sont pas du même type que ceux du monde matériel : en ce sens, les raisons ne feraient pas partie du réel, bien qu'étant objectives et susceptibles d'être connues ; les jugements qui les impliquent seraient vrais ou faux. Cette thèse dite de « l'irréalisme cognitif » est celle de John Skorupski, l'auteur du monumental Domain of Reasons (Oxford, 2010), et d'autres contributions qui, dans le présent volume, en précisent les thèses. à la différence de Derek Parfit, skorupski développe l'argument original des « relations de raison ». Sans s'écarter de leur réalité intersubjective, il discute à ce propos de l'ontologie des raisons fondée sur la spontanéité de l'agent moral. Les textes de Pascal Engel, Isabelle Pariente-butterlin et Davide Fassio interrogent à leur tour l'épistémologie des normes. Tout revient à savoir s'il y a une unité des raisons ou s'il faut tracer une distinction forte entre les raisons « pratiques » et les raisons « théoriques ». Les raisons peuvent-elles ne pas dépendre de l'esprit et consister dans des faits ou des énoncés doués de sens – qu'est-ce que cela implique en pareil cas ? Si elles ne sont pas actuellement connues ou disponibles, le problème est de dire en quoi on peut encore les tenir pour des raisons.
_2éditeur
410 0 _042415244
_tInter-normes
_x2115-9610
_d2020
600 _312183346
_aSkorupski
_bJohn
_f1946-....
_2rameau
606 _311968692
_aRaison
_2rameau
608 _312061148
_aActes de congrès
_2rameau
676 _a128.33
_v23
686 _a100
_2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
702 _316141963
_oISNI0000000071447134
_aLanglet
_bBruno
_4651
702 _312014131
_oISNI0000000109257361
_aMonnoyer
_bJean-Maurice
_f1949-....
_4651
712 1 1 _315067293
_oISNI0000000119589853
_aLaboratoire interdisciplinaire de droit des médias et des mutations sociales
_cAix-en-Provence, Bouches-du-Rhône
_4340
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c20200311
_gAFNOR
_hFRBNF465373940000004